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Ils témoignent pour Lurzaindia
La terre nourricière, un bien collectif
Le très beau témoignage de Johanne Foirien et Lutxo Herrera, deux agriculteurs qui ont pu s'installer en fermage sur une ferme acquise par Lurzaindia.
Paysans en AMAP : se libérer de l'utilisation de produits chimiques
Une Gagnotte Solidaire pour le financement des pré-diagnotics
L'initiative des AMAP est basée sur un double engagement :
- Des consommateurs-trices AMAPien-ne-s soutenant un-e paysan-ne qui défend un modèle d'agriculture paysanne sans utilisation de produits chimiques.
- Des paysan-nes qui s'appuient sur les AMAPien-ne-s pour mettre en oeuvre des pratiques agricoles dans le cadre de l'agriculture paysanne sans utilisation de produits chimiques.
Il apparait que 20 % des paysan-nes en AMAP au Pays Basque ne se sont pas encore totalement « libéré-e-s » de l'utilisation de produits chimiques.
Une réflexion a été menée avec les paysan-ne-s concerné-e-s et une partie est motivée pour regarder ce qui est améliorable dans leur pratique, tout en étant soutenable économiquement. Cette approche, qui fait partie des engagements réciproques entre AMAPien-nes et paysan-ne-s, doit nous permettre d’aller vers une alimentation de qualité ; c'est un challenge pour nous tous de s'appuyer sur la charte AMAP pour aller plus loin.
L’Inter-AMAP Pays Basque a demandé à l'association B.L.E (Biharko Lurraren Elkartea) - Civam Bio du Pays-Basque (coordinatrice, Cécile Bacles : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )- un appui technique pour apprécier la cohérence entre les pratiques agricoles des paysans non certifiés en Agriculture Biologique et le cahier des charges de la charte AMAP.
Une mission d’étude et de conseil va être lancée au printemps 2016.
Cette mission a un coût, et nous envisageons d’en prendre une partie en charge au titre de l’inter-AMAP Pays Basque ; B.L.E prenant à sa charge l'autre partie. Afin de rester dans l'esprit de Solidarité, nous avons choisi de ne pas faire supporter ce coût "financier" aux paysan-ne-s. Mais la "gratuité" pour ces dernier-è-s n'est pas sans effort : Les paysan-ne-s engagés dans la démarche vont devoir fournir un travail important de réflexion sur la conduite de leurs fermes qui va leur demander du temps et une véritable implication.
Nous lançons aujourd'hui une cagnotte solidaire pour laquelle la participation est totalement libre. A titre indicatif, nous tablons sur une participation de 10€ par foyer, pas plus. L’objectif est d’obtenir un financement participatif de 4000€ et ainsi de rendre cette mission de pré-diagnostic réalisable pour les paysan-nes désireu-x-ses de s’engager dans cette démarche.
Aussi, nous sollicitons votre aide pour accompagner ces paysan-nes livrant en AMAP qui sont volontaires pour réfléchir à la manière de ne plus avoir à utiliser d’intrants chimiques ou de pesticides dans leurs pratiques et respecter ainsi la charte AMAP.
En pratique, vous pouvez participer :
Par chèque, à l’ordre de :
INTER-AMAP PAYS BASQUE
22 rue Santos Suarez – 64600 Anglet
Mentionnez au dos du chèque « CAGNOTTE SOLIDAIRE PRE-DIAG » ainsi qu'une adresse de courriel afin que nous puissions accuser réception de votre chèque.
Par virement :
INTER-AMAP PAYS BASQUE
IBAN : FR76 1027 8022 7700 0208 2210 105
BIC: CMCIFR2A
Merci de nous faire parvenir un mail pour nous informer que vous avez effectué un virement (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )
En ligne sur notre plateforme sécurisée HelloAsso :
Une Gagnotte Solidaire pour le financement des pré-diagnotics
L'initiative des AMAP est basée sur un double engagement :
Des consommateurs-trices AMAPien-ne-s soutenant un-e paysan-ne qui défend un modèle d'agriculture paysanne sans utilisation de produits chimiques.
Des paysan-nes qui s'appuient sur les AMAPien-ne-s pour mettre en oeuvre des pratiques agricoles dans le cadre de l'agriculture paysanne sans utilisation de produits chimiques.
Il apparait que 20 % des paysan-nes en AMAP au Pays Basque ne se sont pas encore totalement « libéré-e-s » de l'utilisation de produits chimiques.
Une réflexion a été menée avec les paysan-ne-s concerné-e-s et une partie est motivée pour regarder ce qui est améliorable dans leur pratique, tout en étant soutenable économiquement. Cette approche, qui fait partie des engagements réciproques entre AMAPien-nes et paysan-ne-s, doit nous permettre d’aller vers une alimentation de qualité ; c'est un challenge pour nous tous de s'appuyer sur la charte AMAP pour aller plus loin.
L’inter-AMAP Pays Basque a demandé à l'association B.L.E (Biharko Lurraren Elkartea) - Civam Bio du Pays-Basque - un appui technique pour apprécier la cohérence entre les pratiques agricoles des paysans non certifiés en Agriculture Biologique et le cahier des charges de la charte AMAP.
Une mission d’étude et de conseil va être lancée au printemps 2016.
Cet mission a un coût, et nous envisageons d’en prendre une partie en charge au titre de l’inter-AMAP Pays Basque ; B.L.E prenant à sa charge l'autre partie.
Comme vous le savez notre cotisation individuelle de 1€ se veut modeste et accessible à tous, et nous nous sommes toujours réservés la possibilité de collecter un peu plus si l’actualité le nécessite.
Nous lançons aujourd'hui une cagnotte solidaire pour laquelle la participation est totalement libre. A titre indicatif, nous tablons sur une participation de 10€ par foyer, pas plus. L’objectif est d’obtenir un financement participatif de 4000€ et ainsi de rendre cette mission de pré-diagnostic réalisable pour les paysan-nes désireu-x-ses de s’engager dans cette démarche.
Aussi, nous sollicitons votre aide pour accompagner ces paysan-nes livrant en AMAP qui sont volontaires pour réfléchir à la manière de ne plus avoir à utiliser d’intrants chimiques ou de pesticides dans leurs pratiques et respecter ainsi la charte AMAP.
En pratique, vous pouvez participer :
Par chèque, à l’ordre de :
INTER-AMAP PAYS BASQUE
22 rue Santos Suarez – 64600 Anglet
Mentionnez au dos du chèque « CAGNOTTE SOLIDAIRE PRE-DIAG »
Par virement :
INTER-AMAP PAYS BASQUE
IBAN : FR76 1027 8022 7700 0208 2210 105
BIC: CMCIFR2A
Merci de nous faire parvenir un mail pour nous informer que vous avez effectué un virement (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
)
En ligne sur notre plateforme sécurisée HelloAsso :
https://www.helloasso.com/associations/inter-amap-pays-basque/collectes/etude-de-passage-en-bio-pour-les-paysan-ne-s-du-reseau-amap
Quels liens entre les AMAP et l'eusko
Les membres des groupes AMAP ont réfléchi et décidé au fur et à mesure de proposer le paiement en Eusko de toute ou partie des contrats. L'inter-AMAP, de son côté, est porteuse de l'idée de l'Euko car elle fait réfléchir à la manière d'utiliser l'argent dans le tissu économique local et ses conséquences.
Lorsque que l'on devient utilisateur de l'Eusko, on apprend que l'équivalent des 3 % des euskos que l'on utilise peut être reversé à une association de son choix !
http://www.euskalmoneta.org/fr/devenez-association-beneficiaire-elkarte-onuradun-bilaka-zaitez/
Ainsi l'inter-AMAP, qui peut en être bénéficiaire, a reçu dans ce cadre 300 euskos pour 2015. L'assemblée générale a décidé d'utiliser cette somme pour le cofinancement d'un projet spécifique, à savoir la démarche d'accompagnement des paysans qui ne sont pas au carré avec la charte amap sur le volet « sans intrant chimique sans pesticide ».
En résumé...
- N'oubliez pas que vous pouvez désigner l'inter-AMAP Pays Basque comme bénéficiaire des 3 %.
- Si vous voulez vous investir sur la question de l'utilisation de l' eusko dans le réseau AMAP, pas de soucis, il y a plein de pistes à développer.
L’Assemblée Générale de l’association Euskal Moneta se tiendra le samedi 23 avril 2016 de 9h à 12h, salle Lapurdi à Ustaritz.
L'avenir de l'agriculture passe par son appropriation citoyenne !
Parce que si l'agriculture a un avenir, ce sera celui d'une nouvelle alliance vertueuse entre les paysans et la société dans laquelle les citoyens, individuellement et collectivement, se réapproprient et co-construisent une autre éthique et une autre politique alimentaires. La ressource de la transition écologique et sociale de notre modèle agricole à bout de souffle est bien là ! C'est le message politique que nous voulons faire entendre en tant que mouvement des AMAP : nous devons sortir à la fois du productivisme agricole et du consumérisme alimentaire qui sont les deux visages d'une industrialisation croissante de l'acte de se nourrir. Aujourd'hui, avec nos partenaires, nous devons partager plus largement ce message et continuer à le développer concrètement sur tous nos territoires. Parce que c'est en faisant mouvement que nous devenons plus pertinents, plus lisibles et plus visibles. C'est tout le sens de la convention de coopération entre la Fédération Nationale de l'Agriculture Biologique (FNAB) et le MIRAMAP qui sera signée le 4 mars 2016 sur le Salon International de l'Agriculture ; convention qui acte une convergence de valeurs et qui fixe des axes d'actions communes. Au moment où la politique agricole ne cesse de vouloir sauver un système qui est pourtant condamné, soutenant la course en avant technologique et industrielle lorsque le discours est de promouvoir l'agro-écologie, nous devons nous unir sur la voie de l'agriculture biologique, paysanne et citoyenne et co-construire ce nouveau projet de société où l'agriculture et l'alimentation redeviennent un enjeu d'intérêt général ! Contact presse : Léo Coutellec (Porte parole) – 06 11 72 90 98 Marilyn Metayer (coordinatrice) – 04 81 91 60 51 / 06 18 99 77 80 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Le Salon International de l'Agriculture 2016 ouvre ses portes sous l'intitulé "Agriculture & Alimentation (citoyennes)". Idée intéressante que nous mettons en oeuvre concrètement au sein du mouvement des AMAP (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) depuis maintenant 15 ans mais avec une différence de taille : la dimension citoyenne du modèle agricole et alimentaire que nous défendons mérite beaucoup plus qu'une parenthèse dans un slogan, elle est pour nous le coeur d'un nouveau projet de société !
ALIMENTATION
QUELLE AGRICULTURE POUR DEMAIN ?
Un dossier de BastaMag
De plus en plus éloignée des villes, l'agriculture paraît de plus en plus abstraite pour une partie des populations urbaines. Pourtant, les différentes manières de cultiver, de pratiquer l'élevage et de produire impactent directement notre alimentation et notre environnement, ainsi que la santé des exploitants et des travailleurs agricoles.
D'un côté, le modèle productiviste qui, sous prétexte d'être en mesure de nourrir le monde, recourt allègrement à la chimie (pesticides, engrais de synthèses), voire aux OGM et aux manipulations génétiques. De l'autre, d'autres modes de production et de distribution se développent, comme le bio ou l'agroécologie... Privilégiant la qualité, le maintien d'exploitation à taille humaine et les filières locales, à la différence de l'agrobusiness.
Un très bon dossier à consulter sur le site de BastaMag
Le maraîchage bio au Pays Basque
L'inter-AMAP et BLE : une même voix !
Au mois de juillet dernier, B.L.E et l’Inter AMAP Pays- Basque ont donné une conférence de presse commune durant la distribution des AMAP de Quintaou à Anglet.
L’objectif de cette conférence de presse était de présenter ensemble l’état des lieux du maraîchage bio en Euskal-Herri, de souligner les attentes et besoins du secteur, et d’interpeller notamment les collectivités territoriales locales pour d’une part qu’elles maintiennent du foncier agricole à destination du maraîchage bio et d’autre part, qu’elles inscrivent le maraîchage bio comme activité économique à développer dans leur politiques publiques. Cette conférence nous a permis de parler d’une même voix entre les producteurs bios et les consommateurs bios et nous allons continuer à renforcer ce partenariat entre les deux structures.
Inondations et calamités agricoles
Les inondations du 4 juillet dernier n’ont pas épargné les maraîchers. Des maraîchers situés notam- ment sur Ispoure, Itxassou, Halsou, Ordiarp ont perdu parfois jusqu’à 90% de leur outil de travail.
Une visite de la DDTM accompagnée des syndicats et en présence de BLE a eu lieu chez Dominique Zamponi le 10 juillet. Cette visite bien que rapide a permis une fois de plus de rappeler la réalité du maraîchagediversifié, en AB, à savoir peu de reconnaissance, peu d’aides finan- cières spécifiques, dossier calamité agricole globalement pas adapté.
Cette situation est assez « insensée » alors que jamais la demande de légumes bios locaux n’a été aussi forte et jamais il n’y a eu autant de projet d’installation en maraîchage bio sur le territoire.
B.L.E continue donc ce travail « syndical » pour la défense, la reconnaissance et l’accompagnement du maraîchage diversifié notamment en AB. Petite lueur d’espoir, certains maraîchers ont pu pour la 1ère fois bénéficier de la calamité agricole pour 2013. Gageons que ça ne soit qu’un début.